Collaboration entre Lhyfe et Nantes Saint-Nazaire Port pour développer l'hydrogène renouvelable en mer

Collaboration entre Lhyfe et Nantes Saint-Nazaire Port pour développer l'hydrogène renouvelable en mer

21 novembre 2022
Transition énergétique

Lhyfe, l’un des pionniers mondiaux de la production d’hydrogène vert et renouvelable, et Nantes Saint-Nazaire Port, 4è grand port maritime français, ont conclu un accord de partenariat pour développer la filière hydrogène renouvelable en mer et accélérer ainsi la transition énergétique sur l'estuaire de la Loire.

L'entreprise Lhyfe a inauguré fin septembre, dans les bassins de Saint-Nazaire, son projet Sealhyfe, premier prototype mondial de production d’hydrogène renouvelable en mer, d’une puissance de 1 MW, et qui sera connecté à une éolienne flottante. Elle exploite déjà un site de production d'hydrogène renouvelable par électrolyse de l'eau et prévoit des sites similaires à terre partout en Europe.



Nantes Saint-Nazaire Port est fortement engagé, de multiples façons, pour la transition énergétique du Grand Ouest. L'entreprise mise sur les énergies de demain et étudie les scénarios de déploiement de la filière hydrogène dans son écosystème portuaire, avec l’ambition de faire de Nantes Saint-Nazaire le premier grand port hydrogène de l’Atlantique.

 

Associer les expertises  

Forts de leurs visions convergentes, Nantes Saint-Nazaire Port et Lhyfe ont naturellement choisi d'associer leurs efforts et expertises pour identifier, comprendre et évaluer les conditions de mise en œuvre d’une chaîne logistique associée à la production d'hydrogène offshore.

 

Cette collaboration doit permettre d'identifier des espaces et équipements portuaires susceptibles d'accueillir des prototypes en développement R&D et de tester les solutions innovantes. Le partenariat porte également sur l'identification des besoins industriels liés à la construction d'équipements destinés à la production massive d'hydrogène en mer et sur les infrastructures portuaires nécessaires à la production, à la mise à l'eau et à l'intégration de ces futurs équipements. Enfin, les deux parties associeront leurs réflexions autour de la question du rapatriement à terre de l'hydrogène renouvelable produit massivement en mer afin de définir les besoins industriels, logistiques nécessaires à la réception et à l'injection du gaz au sein du réseau terrestre.